Premier spectacle dans lequel un garçon dansait dans nos groupes. Premier et seul spectacle avec Art et Mouvement dans lequel j’avais quatre chorégraphies, deux de classique, deux de jazz, ainsi qu’un rôle un petit peu plus spécial dans « Nuit », la chorégraphie qui m’a le plus amusée. Premier spectacle qui mêlait autant danse, poésie, et expérimentation vidéo, avec un final un peu plus original dans lequel nous avions presque tous une chorégraphie commune qui nous mêlait aux spectateurs. Pourtant, c’est le spectacle le moins ambitieux et intéressant pour moi que j’ai fait avec l’école. Des groupes de musique trop modernes à mon goût également.
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2000-2012 : Sixième Art et Mouvement
« Cendrillon restera pour toujours l’un des plus grands dessins animés signés Disney. Le rêve de Cendrillon : échapper à son sort ingrat. Grâce à l’aide de ses petits amis, Jac et Gus, mais aussi de la bonne fée sa marraine. Cendrillon est un des chefs-d’œuvre, une de ces rares histoires inoubliables qui n’ont pas fini de marquer les générations. Ajoutez à cela le brio et l’imagination de Disney et vous comprendrez pourquoi Cendrillon est et restera ce grand classique inégalable. »
Résumé de ma cassette VHS personnelle de Cinderella (Clyde Geronimi, Wilfred Jackson, Hamilton Luske, 1950)
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Ce n’est qu’en le visionnant des années plus tard que je me suis rendue compte d’une chose intéressante. En effet, je crois que beaucoup de personnes crieraient à l’appropriation culturelle si elles regardaient aujourd’hui la chorégraphie des INDIENS, dont la mise en scène et les costumes paraîtraient non seulement faux, mais également humiliants, surtout que la chorégraphie se termine par un coup de feu qui fige les corps ! Et comble de l’ironie, la chorégraphie des INDIENS est suivie de celle des COWBOYS ! J’avais même mentionné cette remarque à Delphine lorsqu’elle était de passage à Montréal récemment, mais elle n’a pas tellement prêté attention à ces chorégraphies qu’elle avait créées, dit-elle, pour représenter l’Amérique. Cette anecdote s’est également retrouvée dans l’un de mes examens écrits pour le cours Cinéma des différences enseigné par Michèle Garneau à l’Université de Montréal, dans lequel le concept de l’« Indien inventé » était étudié.
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